Alors, Manchester.

Où étais tu pendant ce temps, cette minute silencieuse éparpillé dans la ville? ville nouvelle, à la respiration douloureuse, raison d'un air trop lourd.Visage d'une ville aux couleurs si ternes, si fade; Et amère, elle me paraissait être la réponse à ce désir, ce désir fou de te posséder, toi, nom de nulle part. Mais quelle marche j'ai accomplie à travers la grandeur imaginaire de ces rues! des structures et des places, des avenues, des immeubles, et la foule, à la taille du désir.

où étais tu? homme d'absence et de disparition, tu perds ton nom et ton visage à la mesure de tes pas, appel le dans le vide, la résonnance du mot, contre cette architecture, cette construction consiente qui conditionne ton élan. Elle est mienne, cette consience qui s'évapore dans l'imaginaire de la ville. Quel nom pour quel visage, j'ai perdu la raison de tes traits, oublier dans un espace clos. Qui étais tu alors? avant quand ta marche n'éffleure la mienne de consience ? présent toujours là et pourtant absent de sa matière. je te nomme dans un temps révolus,échos des phrases dans la ville, et quel danse, quel mouvement effroyable ton nom produit dans la rencontre  du béton. Choc du son imprononcé de ma voix.